La revue de presse du jeudi 21 février

"Pourquoi tant de haine?"

Le titre de Midi Libre ce matin. Le quotidien régional consacre deux pleines pages à la défiance vis-à-vis des médias et particulièrement des journalistes. Elle est montée d’un cran à l’occasion du mouvement des Gilets jaunes. 3 personnalités s’expriment : Pierre Carles, Alexis Levrier et Jean-François Kahn, un historien des médias, un réalisateur et un journaliste. Et le témoignage aussi de Céline Durchon, pigiste pour BFMTV et M6, prise à partie par des manifestants en novembre dernier à Montpellier. 

"Les enseignants voient rouge"

A lire sur le site Objectif Gard. A propos du Bac blanc qui pourrait être annulé fin mars au lycée Daudet. C’est le cas cette semaine dans un autre établissement nîmois, le lycée Philippe Lamour. En cause, la réforme du Bac. Les syndicats critiquent notamment la mise en place des spécialités, source d’inégalités selon eux. Et un diplôme dont la valeur serait variable selon le lycée où il a été obtenu.

Vaucluse: les excès de vitesse explosent

Dans le département, les radars fixes ont été dégradés depuis le 17 novembre. Selon Vaucluse Matin, les grands excès de vitesse sont en hausse de 47% depuis la fin de l'année. La gendarmerie annonce un renforcement des contrôles. Exemple avec ce conducteur flashé mardi à 144 km/h à l’Isle-sur-la-Sorgue sur un secteur à 80. Et au passage, notez qu’aujourd’hui dans le département du Vaucluse, la vitesse maxi autorisée est abaissée de 20 km/h en raison d’une pollution de l’air aux particules.

Montpellier:  "les ralentisseurs dans le viseur"

Midi Libre évoque l'audit des 2.200 "gendarmes couchés" de la Métropole. Le but de l'opération vérifier qu’ils sont aux normes, notamment au niveau de leur hauteur. Qui, il est vrai, s’apparente parfois à celle d’un trottoir.

Foot: une fessée pas méritée

5 à 1. Le score est lourd pour Montpellier sèchement battu hier soir par le PSG. Le MHSC a craqué en toute fin de match face au génie Mbappé et à ses coéquipiers. Mais, pour 20 Minutes Montpellier, le tarif est  trop salé pour les héraultais. 

Une manoeuvre délicate sur le chantier de l'aquarium de Canet-en-Roussillon.

Il doit ouvrir en début d’année prochaine et hier une phase délicate suivie par L'indépendant. La pose de la vitre du bassin à requins. Elle coûte 350.000 euros, pèse 10 tonnes et pour l’installation ça se joue au millimètre. Pas question de se tromper puisque le bassin contiendra 840.000 litres d’eau.