Narbonne : tous les jeudis, des étudiants vous font découvrir la ville gratuitement

25 janvier 2023 à 17h07 par Corentin Aubry

À Narbonne, les jeudis du patrimoine font leur retour dès ce jeudi 26 janvier. Il s’agit de visites gratuites sur différentes thématiques, commentées par des étudiants guides-conférenciers.

Narbonne

11 Rendez-vous jusqu’au 20 avril

 

Chaque jeudi à partir de ce 26 janvier, jusqu’au 20 avril, des étudiants de la licence professionnelle guide-conférencier de l’Université de Perpignan Via-Domitia, antenne de Narbonne, proposent des visites guidées pour découvrir des aspects méconnus de la ville. Ce programme, intitulé « Jeudis du patrimoine » leur permet de se confronter à un public et de se mettre en situation de guidage. 

Une idée originale et conviviale pour visiter Narbonne ces prochaines semaines.

Les départs s’effectuent de la place de l’hôtel de ville, face à l’entrée principale du Palais-Musée des Archevêques. Les visites sont ouvertes à tous, gratuites et sans réservation.

Renseignements au 04 68 90 30 66 ou par mail sur palais@mairie-narbonne.fr

 

Le programme des visites, les jeudis, à 15 h

 

  • 26 janvier : le retable gothique de la cathédrale de Narbonne : un monde de couleurs
  • 2 février : images du pouvoir dans les collections d’art du Palais-Musée
  • 9 février : Viollet-le-Duc et Paul Tournal : deux figures majeures du patrimoine narbonnais
  • 16 février : l’aménagement des berges du canal de la Robine au fil du temps
  • 9 mars : les Archevêques et l’art du portrait dans le parcours d’art du Palais-Musée
  • 16 mars : l’architecture de la basilique Saint-Paul : comment passer d’un édifice roman à un bâtiment gothique ?
  • 23 mars : gloire et déboires des murailles de Narbonne
  • 30 mars : la réhabilitation de la Maison des Trois-Nourrices
  • 6 avril : autour de la cathédrale : un panorama de l’histoire monumentale de Narbonne.
  • 13 avril : la gare SNCF et le Palais des Sports de Narbonne : une identité nouvelle pour la ville.
  • 20 avril : les salles orientalistes : une muséographie onirique ?